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Blog Post

Innovations pour la génération de la demande et la prestation de services de planification familiale au Nigéria

Innovations pour la génération de la demande et la prestation de services de planification familiale au Nigéria par Global Financing Facility Knowledge & Learning Platform
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Umma Yaradua est Officier de Liaison du Mécanisme de Financement mondial au Nigeria. Dans le cadre de ses fonctions, elle appuie le gouvernement nigérian dans le cadre de la mise en œuvre du Dossier d’Investissement de la SRMNEA+N.  Son expérience s’étend a plusieurs domaines, notamment les politiques publiques, la gouvernance, la mobilisation du secteur privé et les systèmes de santé.  Elle gynécologue-obstétricien de formation.

 


Innovations pour la génération de la demande et la prestation de services de planification familiale au Nigéria

En approuvant le plan FP2020, le Dr Osagie Ehanire, ministre de la Santé, a fait la déclaration suivante:

” Plusieurs cultures au Nigéria utilisent des noms qui représentent l’agonie, la tristesse et le désespoir qui accompagnent les décès répétés de la mère et de l’enfant : ” Ajuji ” (c’est-à-dire “un enfant destiné à la décharge”) parmi les Hausas du Nord ; ” Abiku ” (c’est-à-dire ” un enfant prédestiné à mourir “) parmi les Yorubas du Sud-Ouest et “Onwubiko” (c’est-à-dire “que la mort épargne celui-ci”) parmi les Igbos, par exemple. Chaque année au Nigéria, on estime que 33 000 mères meurent, dont les trois quarts auraient pu être évités grâce aux interventions sanitaires existantes ; 946 000 enfants de moins de cinq ans meurent ; 41 000 nouveau-nés meurent, dont 70% auraient pu être évités grâce aux paquets de soins de santé existants. Cela signifie qu’au total, environ 1 million de femmes et d’enfants meurent chaque année au Nigéria, soit environ 3 000 décès par jour et 2 par minute. Nous avons l’obligation et la possibilité de changer cette situation, et la planification familiale constitue une intervention essentielle.

Le Nigéria a une population en croissance rapide de plus de 200 millions d’habitants, dont 46 millions sont des femmes en âge de procréer. Avec un taux de fécondité total (TFR) de 5,3, un faible taux de prévalence des contraceptifs modernes qui n’est que de 12% et un niveau élevé de besoins non satisfaits en matière de planification familiale, l’enquête démographique et de santé du Nigéria (Nigeria Demographic and Health Survey, NDHS) a indiqué un taux de 48% chez les femmes célibataires sexuellement actives et de 19% chez les femmes actuellement mariées. Le Nigéria va forcément continuer à former une population jeune très dépendante, les enfants de moins de 15 ans représentant 40% de la population (voir la figure 1). Les besoins non satisfaits en matière de planification familiale sont accentués de manière disproportionnée chez les jeunes femmes, celles des zones rurales, celles qui sont moins instruites et celles des quintiles des revenus les plus faibles. Cela est dû en partie au manque de connaissances, ainsi qu’à des facteurs culturels importants.

Figure 1

 

 

 

 

 

 

Source: Commission nationale de la population, Abuja, Nigéria (juillet 2020).  Projections démographiques et indicateurs démographiques du Nigéria

La fourniture de produits de planification familiale (PF) au Nigéria a été largement déterminé par les bailleurs de fonds, principalement par le FCDO, le Canada et l’UNFPA, entre 2003 et 2011. En 2017, conformément au FP2020, le Nigéria s’est engagé à verser 4 millions de dollars américains par an pour l’achat de produits de PF, de 2017 à 2020. Malheureusement, le pays n’a pas honoré sa part du marché (voir le tableau 1).

Table 1: Contributions de contrepartie du gouvernement pour l’approbation des achats de produits par le Conseil exécutif fédéral entre 2017 et 2020 @ 4 000 000,00 de dollars américains par an (@ 1 $ = N345)

Selon une étude réalisée par le Guttmacher Institute, si tous les besoins non satisfaits en matière de contraception moderne au Nigéria étaient satisfaits, les grossesses non planifiées diminueraient de 77%, passant de 2,5 millions à 555 000 par an [1].  En conséquence, le nombre annuel de naissances non planifiées diminuerait de 885 000 à 200 000 et le nombre d’avortements de 1,3 million à 287 000.  La mise à l’échelle des services de contraception permet de compenser le coût de l’amélioration des soins liés à la grossesse et aux nouveau-nés, en réduisant les grossesses non planifiées. Pour chaque dollar américain dépensé sur les services de contraception, au-delà de ce qui est actuellement dépensé, nous économiserions 2,77 dollars américains en ce qui concerne le coût de l’amélioration des soins de la mère, du nouveau-né et de l’avortement. En 2016, les gouvernements des États ont alloué la somme de 7 052 480 dollars américains en fonds complémentaires pour le programme de planification familiale grâce aux prêts de l’IDA, décaissés dans le cadre du projet Saving One Million Lives (SoML) et du projet d’investissement de la Banque mondiale dans le secteur de la santé du Nigéria (Nigeria State Health Investment Project, NSHIP).

En 2011, suite à des campagnes vigoureuses de plaidoyer pour améliorer l’accès, le gouvernement du Nigéria a décidé de rendre les produits de PF gratuits dans tous les centres de soins de santé primaires (SSP) et dans certains établissements privés. Mais malgré cela, le taux de prévalence des contraceptifs modernes (modern contraceptive prevalence rate, mCPR) reste constant (voir la figure 2), car les gouvernements des États, qui sont responsables de l’acheminement des produits vers les cliniques, les pharmacies, etc. d’où les femmes peuvent en avoir accès, n’ont pas les moyens financiers de le faire.

Figure 2

Les obstacles du côté de l’offre comprennent

1.       Le coût des moyens de PF (les moyens de PF sont gratuits dans les établissements publics mais payants dans les établissements privés).

2.       Le manque de main-d’œuvre pour fournir les services

3.       La capacité à fournir des services efficaces

4.       Les horaires d’ouverture et de fermeture des établissements

5.       La disponibilité des moyens de contraception

6.       Les difficultés en termes d’achats – des ruptures de stock importantes dans tous les établissements.

7.       Au niveau national – faible engagement du gouvernement à tous les niveaux, faible disponibilité de canaux d’information et de services adaptés aux jeunes.

 

Le ministère fédéral de la Santé a révisé le plan national de planification familiale (2020-2024), qui vise à augmenter le taux de prévalence des contraceptifs modernes (mCPR) de 12% en 2018 à 27% en 2024. Cela représente une augmentation annuelle prévue de 3%, par rapport au taux national actuel de mCPR[2], dont le coût est estimé à 252 004 187 dollars américains. Ces coûts sont censés couvrir la période du plan de PF, sachant que les coûts des produits augmentent au fil du temps, au fur et à mesure que l’on touche de plus en plus de femmes. La demande de produits de PF constitue un énorme obstacle à leur accès, ce qui a entraîné la génération de la demande dans le cadre du programme.

Les activités de génération de la demande visent à accroître le désir des clients quant à l’utilisation des moyens de planification familiale, en cherchant à changer leurs attitudes ou leurs perceptions de la PF ou en cherchant à améliorer leur compréhension ou leurs connaissances, y compris les normes sociales et culturelles sur les moyens de PF. Dans un pays aussi vaste que le Nigéria, il est essentiel de trouver des moyens novateurs d’accroître la demande et l’utilisation de ces moyens, non seulement pour les femmes et les filles, mais aussi pour notre développement national, afin de réduire la mortalité maternelle et celle des enfants de moins de cinq ans. Selon le plan de PF, sur les 252 millions de dollars américains budgétisés, seuls 3,5 millions seront utilisés au cours des années pour résoudre les problèmes liés à la génération de la demande, le plus grand montant étant consacré à la gestion des achats et de la chaîne d’approvisionnement.  Il est estimé que ce chiffre sera moins élevé en raison des réductions budgétaires actuelles du FCDO qui affecteront de nombreux pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure (PRI TI) – dont 28 sont des pays du GFF – et qui seront aggravées par la pandémie de la Covid-19.

Les obstacles liés à la demande comprennent

  • Niveau individuel – peur des effets secondaires, des mythes et des idées fausses sur les moyens modernes de PF.
  • Niveau familial – le désir d’avoir une famille nombreuse, l’opposition du conjoint, la faible position socioculturelle des femmes.
  • Niveau communautaire – la faible sensibilisation parmi les chefs traditionnels/religieux, les préjugés des prestataires de services de PF.
  • Difficulté d’accès aux services auprès des établissements
  • Non-disponibilité des moyens de transport – aggravée pendant les périodes de confinement.

Plus de 76% des centres de SSP fournissaient des services de SRMNEA, y compris la planification familiale[3]. En raison du confinement, une baisse au niveau de l’accès aux services a été constatée, avec de grandes différences d’un État à l’autre et au sein d’un même État, en raison de la COVID-19.  Sans les efforts visant à améliorer le faible accès aux services, il est estimé qu’entre 357 000 et 1 420 000 de femmes risquent de ne pas pouvoir utiliser des moyens de contraception, ce qui entraînerait entre 8 920 et 425 000 grossesses non planifiées au Nigéria[4].  Les doses de pentavalent 3 ont diminué de 14% en avril et sont revenues aux niveaux prévus à partir de septembre 2020, d’après l’analyse du DHIS2 (voir la figure 3).

Figure 2

Pourquoi est-ce important ?

La population du Nigéria devrait atteindre 379 millions d’habitants d’ici 2050, devenant ainsi le quatrième pays le plus peuplé de la planète. Les taux de fécondité élevés, dus au désir de fonder une famille nombreuse, et le faible taux d’utilisation des moyens de PF sont les principaux facteurs de la croissance démographique rapide du Nigéria. Si aucun effort n’est fait pour freiner la croissance de la population, le pays risque de se diriger vers un désastre démographique, comme le montrent déjà les défis économiques, sociaux et environnementaux auxquels le pays est confronté quotidiennement. Des mesures audacieuses doivent être prises pour aborder non seulement la PF mais aussi des secteurs tels que l’éducation, la santé, l’émancipation des femmes et la productivité.

Innovations pour améliorer l’utilisation des moyens de PF

Étant donné que le taux d’utilisation actuel des services de PF est faible – en raison de problèmes liés à la fois à la demande et à l’offre – il convient d’introduire des moyens novateurs pour y remédier, en particulier durant cette période de la Covid19, où le taux d’accès aux services de santé essentiels est réduit. Cela peut être constaté grâce à l’utilisation des TIC et l’utilisation de différentes applications pour soutenir la disponibilité des services publics[5] en Indonésie en période de pandémie.

Innovations du côté de la demande

  • Le plan de communication sur la planification familiale à l’aide de points a été adopté par les États en 2017 – Le plan national de communication sur la planification familiale (National Family Planning Communication Plan, NFPCP) décrit les étapes de création d’une nouvelle image pour les services de planification familiale grâce au lancement officiel et à la présentation du NFPCP; et le nouveau logo national de la PF “The Green Dot” suscitera un débat public et permettra aux Nigérians de savoir où ils peuvent obtenir des services de planification familiale de qualité, sûrs et fiables, auprès des établissements de santé publics et privés du pays.
  • La sensibilisation des communautés pour fournir des informations, des conseils et fournir des services et de l’aiguillage. Autodidacte, utilisant l’injection Sinepress, fournir directement 1 an de fourniture gratuite (utile en cas de pandémie).
  • Des efforts continus pour renforcer les programmes communautaires de planification familiale en collaboration avec l’Agence nationale pour le développement des soins de santé primaires (National Primary Health Care Development Agency, NPHCDA), afin de les intégrer au programme CHIPS.

Innovations du côté de l’offre

La pandémie de la Covid-19 a présenté une énorme occasion de réflexion innovante à travers le monde. Le ministère de la Santé a dû trouver des moyens novateurs de maintenir les services de santé essentiels, notamment la planification familiale, en collaboration avec des partenaires, la société civile et le secteur privé.

Soixante pour cent des femmes accèdent à la PF à travers le secteur privé, d’autant plus en période de la pandémie[6]. Le Nigéria a développé une politique de partage des tâches pour les services de soins de santé essentiels en 2014, qui a été mise à jour en 2018, et l’un des objectifs de cette politique était de permettre aux pharmaciens communautaires et aux vendeurs de brevets et de médicaments brevetés (patent and proprietary medicine vendors, PPMVs) de fournir des services, y compris la PF. Actuellement, 22% des femmes reçoivent leurs produits de PF auprès des PPMV[7], notamment pour les adolescents et les jeunes (15 à 24 ans). Cette approche est semblable à celle adoptée au Kenya, où l’Association pharmaceutique et le ministère de la Santé ont collaboré pour renforcer la capacité du personnel des pharmacies dans le contexte de moyens de contraception disponibles, de conseils aux jeunes et de mise en place d’un système d’aiguillage efficace. Au Nigéria, les partenaires ont apporté leur soutien à ce programme à travers :

  • Le GFF – pour élaborer des lignes directrices permettant de maintenir les services de santé essentiels grâce au “dialogue politique sur l’engagement des vendeurs de brevets et de médicaments brevetés (PPMV) dans la fourniture de services de santé et de produits essentiels en période de la pandémie de la Covid-19 et d’autres épidémies infectieuses”.
  • Le projet IntegratE – mis en œuvre par un consortium mené par l’Association pour la Santé Familiale (Society for Family Health, SFH) avec un financement de MSD for Mothers et en partenariat avec la Fondation Bill & Melinda Gates – collabore avec le ministère fédéral de la Santé (FMoH) depuis 2017 pour élargir sa politique de partage des tâches (TSTS). Pour y parvenir, un système est expérimenté, piloté par le Conseil des pharmaciens du Nigéria, pour tester un modèle à Lagos et dans l’État de Kaduna, en vue de le mettre à l’échelle dans d’autres États. Ce projet avait pour objectif d’améliorer l’accès et le recours aux services de planification familiale, l’objectif global étant d’améliorer le taux de couverture des moyens de contraception.[8]

D’autre part, le gouvernement a également mis en place certaines mesures pour améliorer l’approvisionnement en produits de PF et la qualité des services.

  • Les agents communautaires de vulgarisation sanitaire (Community Health Extension Workers – CHEWS) – ils distribuent les produits en porte à porte et auprès des établissements, comme par exemple les pilules et le Sinepress. Ils renforcent le programme de planification familiale communautaire pour garantir que les clients des services de la PF reçoivent des services et des produits dans leur communauté immédiate, y compris dans les contextes humanitaires. Des méthodes de formation en ligne ont été adoptées.
  • Les fournitures et services en matière de PF sont intégrés dans la Réponse générale nationale de la santé face à la Covid19.

*********************

[1]  https://www.guttmacher.org/fact-sheet/adding-it-up-contraception-mnh-nigeria

[2] Nigeria Family Planning Blueprint 2020- 2024 accessed from https://health.gov.ng/doc/final-2020-Blueprint.pdf le 28 avril 2021.

[3] Effet de la pandémie de la pandémie de la COVID-19 sur la prestation de services de santé sexuelle et reproductive dans les établissements de de soins santé primaires au Nigéria : une étude transversale – Adelekan et al. Reprod Health (2021) 18:166 [Effect of COVID-19 pandemic on provision of sexual and reproductive health services in primary health facilities in Nigeria: a cross-sectional study – Adelekan et al. Reprod Health (2021) 18:166].

[4]  Maintien de l’accès aux contraceptifs durant les perturbations causées par la COVID-19 – Impacts potentiels et mesures d’atténuation au Nigéria.

[5] Innovation dans la réponse à la pandémie de la COVID-19: les meilleures pratiques de cinq « villes intelligentes » (ou Smart Cities) en Indonésie – Rini Rachmawati et al Nov 2021 [  Innovation in Coping with the COVID-19 Pandemic: The Best Practices from Five Smart Cities in Indonesia – Rini Rachmawati et al Nov 2021]

[6]  Mitchell, S. 2013. “Le rôle du secteur privé dans la planification familiale”. Blog. 10 novembre. http:// healthmarketinnovations.org/blog/role-private-sectorfamily-planning. Consulté le 7 juin 2017. [Mitchell, S. 2013. “The Role of the Private Sector in Family Planning.” Blog. November 10. http:// healthmarketinnovations.org/blog/role-private-sectorfamily-planning. Accessed June 7, 2017]

[7] Commission nationale de la population (NPC) [Nigéria] et ICF. 2019. Enquête démographique et de santé du Nigéria 2018. Abuja, Nigéria, et Rockville, Maryland, États-Unis : NPC et ICF. [National Population Commission (NPC) [Nigeria] and ICF. 2019. Nigeria Demographic and Health Survey 2018. Abuja, Nigeria, and Rockville, Maryland, USA: NPC and ICF].

[8] Intégrer les prestataires de services du secteur privé pour améliorer l’accès aux produits et aux services de planification familiale – Jan 2022 [Integrate Private Sector Providers to Improve Access to Family Planning Commodities and Services – Jan 2022].